« La menace pourrait-elle être une contrainte forte et la promesse une contrainte douce ? "
Céline Minard
... "ce sentiment funeste et doux, l'espérance", décrit par
Raymond Aron qui rapporte que dans les premiers camps de la mort,
un prisonnier était libéré chaque jour pour bonne conduite. A lui
seul, il remplaçait utilement les barbelés, les clôtures et les
miradors.
Lu dans:
Céline Minard. Le grand jeu. Rivages. 2016. 192 pages.
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