"Que je voudrais ton bras appuyé sur le mien
m’en aller lentement par un parc ancien (..)
Nous irions pas à pas savourant l’heure brève
après tant d’amoureux nous ferions le beau rêve
dont les hommes toujours ont bercé leur ennui
la nuit d’été viendrait la tiède et calme nuit
et nos cœurs sentiraient devant son grand mystère
à quel point quand on aime il est doux de se taire."
Fernand Severin
Lu dans :
Colette Nys-Mazure, Christian Libens, Pauline Cremers. Piqués des vers. 300 coups de cœur poétiques. Espace Nord. 2014. 410 pages.
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