"C'est toujours toi qui m'accueilles
au bas de l'escalier (..)
Quand tes mains voleront sous les prèles
quand la terre baignera tes paupières
je reprendrai la vie où tu l'auras laissée."René Guy Cadou
Au plafond de la Sixtine, deux mains s'effleurent comme un passage
de relais. Plus proche, l'au revoir à la vie de ce grand-père le jour
même où naît un arrière-petit-fils. La vie est source permanente.
Lu dans:
René Guy Cadou. Poésie la vie entière. Le cœur au bond. Seghers. 2001. 480 pages.
René Guy Cadou. Poésie la vie entière. Le cœur au bond. Seghers. 2001. 480 pages.
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