«La vie n'est qu'une suite de problèmes, mais le pire, c'est qu'elle s'arrête! »
Woody Allen
Un patient nonagénaire, veuf de peu, s'avéra inconsolable "alors qu'on peut dire, docteur, que ma femme n'a pas arrêté de me disputer pendant 60 ans. Et aujourd'hui c'est incroyable comme cela me manque." Paradoxe des souffrances de la vie comme elle va, même quand elle va très mal, et à laquelle on s'accroche souvent de toutes ses forces. A l'instar d'Etty Hillesum, incarcérée à Auschwitz où elle mourra le 30 novembre 1943 et pressentant l'issue: «Comme la vie est belle pourtant. »
Lu dans:
Frédéric Lenoir. La puissance de la joie. Fayard. 2015. 217 pages. Extrait p.182
Etty Hillesum, Les Écrits, Journaux et Lettres 1941 « 24 septembre 1942 », Seuil. Extrait p. 201
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