"Parfois
tu brûles un livre car
il fait froid
et il faut du feu
pour te réchauffer
et parfois
tu lis un livre
pour la même raison."
Motet médiéval tardif extrait du Codex de Montpellier, cité par le poète américain Charles Bernstein dans le livret de Shadowtime (1999-2004), opéra en sept scènes de Brian Ferneyhough sur la vie et l’œuvre de Walter Benjamin
1 commentaire:
Oui le feu intérieur que procure les joies de la lecture qui dévore l'âme et le coeur est l'équivalent du feu qui te réchauffe le corps!
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