"Deux dangers menacent les finales festives : le chaos des crescendos incontrôlables et l'ennui, la fatigue des diminuendos interminables. En réalité, ce qui est en jeu ici, c'est le souvenir de la fête, ce qu'on emportera d'elle dans le retour à la vie normale. "
P. Vander Kerken. De Feestvierende Mens.
Lu dans:
Frédéric Debuyst. A la recherche de la simplicité. Publications de Saint André. Les Cahiers de Clerlande n° 13. 2015. 141 pages . Extrait p. 17
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