"Sans mort, nulle légèreté. (..) Quel poids auraient, je vous le demande, cinq minutes ou quatre-vingts ans si vous les preniez sur une durée qui ne finirait jamais? C'est pour les vivants que tous les moments comptent : parce que sur chacun d'eux l'ombre s'allonge; parce que chacun d'eux ne connaît jamais qu'un printemps. »
Lucien Jerphagnon
Lu dans :
Lucien Jerphagnon, cité par Raphaël Enthoven. Matière première. NRF Gallimard. 2013. 151 pages. Extrait p.134
Lucien Jerphagnon, cité par Raphaël Enthoven. Matière première. NRF Gallimard. 2013. 151 pages. Extrait p.134
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire