"Contente-toi d’aimer
les pavés las les calmes maisons fatiguées
va, va ne te fais pas une âme raffinée
contente-toi d’aimer les premiers réverbères
Va, va, ne cherche pas à brimer ton bonheur."
Marcel Thiry
Cela mitraille à la station de métro voisine, et les bulles à verre
débordent d'encombrants de toutes sortes. Comment expliquer qu'on puisse
être attaché à une commune aussi compliquée, si ce n'est par sympathie
profonde pour ses habitants et à la mémoire qu'on conserve d'une
existence heureuse?
Lu dans:
Marcel Thiry. Traversées 1924. Toi qui pâlis au nom de Vancouver. Seghers. 1975. 507 pages
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