Deux lignes, un vrai tableau. Van Gogh a peint l'inoubliable Terrasse de café, la nuit. Le court texte de Foenkinos me l'a remis en mémoire."J'avais envie de traîner ; j'avais envie de me libérer d'un poids qui subitement m'étouffait ; j'avais envie de boire. J'ai marché un peu, avant de repérer au loin une enseigne clignotante. La version alcoolique du phare. Le néon n'attirait pas les bateaux mais plutôt les dérives. "D. Foenkinos
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David Foenkinos. Les souvenirs. NRF Gallimard. 2011. 266 pages. Extrait p. 165
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