25 septembre 2005

A propos d'un vers de Cortazar



"Des grelons tombent durement sur Panurge et. quand ils se liquéfient, on voit qu'il s'agit de paroles gelées.
Tout livre est une parole gelée qui doit être réchauffée par la main des hommes."
D'après Rabelais, Panurge

Qui pourra me dégeler ces vers de Cortazar (extraits de Bolero)
"Siempre fuiste mi espejo,
quiero decir que para verme tenía que mirarte."

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