« Celui qui a mille verstes à faire doit pouvoir se dire, oubliant le but final: ''Aujourd'hui, en faisant quarante verstes j'arriverai à un endroit où je pourrai me reposer et dormir" ; et, pendant la première étape, ce lieu de repos masque le but final et concentre sur lui tous les désirs et tous les espoirs ».Lu dans :
Léon Tolstoï
Sylvain Tesson. Berezina. Ed. Guérin. 2015. 200 pages. Extrait p. 161
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