« Ayant bu des mers entières, nous restons tout étonnés que nos lèvres soient encore aussi sèches que des plages, et toujours nous cherchons la mer pour les y tremper, sans voir que nos lèvres sont les plages et que nous sommes la mer. »
Attâr, poète mystique persan, XIIème et XIIIème siècles
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