"Le martinet ne touche terre qu'à la saison des nids
la nuit il monte à très haute altitude
puis se laisse lentement descendre rêveur qui plane et dort
Quand un martinet en rêvant croise mon rêve d'homme
je rêve que je plane il rêve que je dors."
Claude Roy
Lu dans
Claude Roy. L'étonnement du voyageur. 1987-1989. NRF Gallimard. 1990. 375 pages. Extrait p.101
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