"Il est mort mais j'ai eu le sort le plus terrible: j'ai dû survivre".
N. Ferlut.
C'était un ami cher et un homme bon. Trois ans après son départ, son
fauteuil vide dégage encore la même tristesse et la même stupéfaction,
comme un trou dans la mer qui ne se serait pas refermé. On prétend que
personne n'est irremplaçable, quelle sottise.
Lu dans:
Nathalie Ferlut. Conte cruel de Manhattan. Eve sur la Balançoire. Casterman. 2013. 178 pages.
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