"Il est curieux que l'on dise de quelqu'un "il se sauve" quand il s'en va. On ne peut pas se sauver en restant?"
F. Beigbeder
L'expression est pourtant quotidienne, au terme d'une soirée agréable, d'une rencontre bienveillante: allez, je me sauve. Un doute désormais m'habite: de qui, ou de quoi se sauve-t-il? Etonnante langue française.
Lu dans:
Frédéric Beigberger. Un roman français. Le Livre de poche 31879. Grasset 2009. 250 pages. Extrait p.33
Frédéric Beigberger. Un roman français. Le Livre de poche 31879. Grasset 2009. 250 pages. Extrait p.33
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire