« Ce corps qui fut un rire
brûle à présent
cendres emportées par le vent jusqu’au fleuve
et l’eau les reçoit
comme les restes de larmes heureuses. »
Tahar Ben Jelloun
Un homme simple et bon nous a quittés. Il nous était apparenté par ce
joli terme qu'est la "belle famille", et son rire mêlé à celui de mon
papa quand ils se retrouvaient m'habite encore après de si longues
années. On a besoin d'exemples sur la route.
Lu dans:
Tahar Ben Jelloun. La Remontée des cendres, suivi de Non identifiés (Anglais). Points Poésie. 2011. 2011. 144 pages.
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