"Aujourd'hui, j'ai ma gueule de misère: Filou est mort ce matin.
Je ne savais pas combien il faisait partie de moi-même. Filou était le seul être vivant qui partageait ma maison.
Définitivement, j'y suis seul avec mes souvenirs. J'ai porté le corps de Filou à Veeweyde où un employé l'a enregistré.
Puis il a dit à son collègue: « Un cadavre». Et se tournant vers moi : "Cinquante francs ».
Ainsi se terminait un roman d'amour qui avait duré quinze ans."
Jo Delahaut. Mon chien est mort.
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